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    • 5. IMPACT DE LA GLOBALISATION SUR L’AIRE CULTURELLE ADJA-TADO

    5. IMPACT DE LA GLOBALISATION SUR L’AIRE CULTURELLE ADJA-TADO

    5.   IMPACT DE LA GLOBALISATION SUR L’AIRE CULTURELLE ADJA-TADO

    Houèyétongnon Aureste Clétus BOGNON

    Université d’Abomey-Calavi (Bénin)

    cleauregnon@yahoo.fr

    Résumé

    L’objectif de cet article est d’évaluer l’impact de la globalisation sur les valeurs sociales de l’aire culturelle Adja-Tado. La recherche est de nature mixte (quantitative et qualitative) et s’est déroulée dans sept (07) communes du Bénin à savoir : Cotonou, Porto-Novo, Abomey, Lokossa, Aplahoué, Allada et Adjrarra. Au total, les avis de quatre-cents (400) membres des communautés parcourues ont été pris en compte au cours de la collecte des données. Les résultats ont d’abord permis de constater que les cultures Adja-Tado ne sont pas emmurées quant à leur ouverture à d’autres cultures ; ensuite, d’évaluer les perceptions des communautés sur la dynamique sociale de la globalisation ; et enfin, que les dimensions sociales de l’aire culturelle Adja-Tado ont été impactées par le processus de globalisation.

    Mots clés : Adja-Tado, Culture, Globalisation, Numérique, Valeurs.

    Abstract

    The objective of this article is to evaluate the impact of globalization on the social values ​​of the Adja-Tado cultural area. The research is of a mixed nature (quantitative and qualitative) and took place in seven (07) communes of Benin, namely: Cotonou, Porto-Novo, Abomey, Lokossa, Aplahoué, Allada and Adjrarra. In total, the opinions of four hundred (400) members of the communities visited were taken into account during data collection. The results first showed that Adja-Tado cultures are not walled in regarding their openness to other cultures; then, to evaluate the perceptions of communities on the social dynamics of globalization; and finally, that the social dimensions of the Adja-Tado cultural area have been impacted by the globalization process.

     

    Keywords : Adja-Tado, Culture, Globalization, Digital, Values.

    Introduction

    Phénomène décrite simplement comme la circulation accélérée des biens, des services, des capitaux, des personnes et des idées au-delà des frontières nationales, la globalisation est le plus souvent étudiée sous l’angle économique. La profondeur de la dynamique et la multiplicité des domaines affectés n’épargnent point le champ culturel (D. Juhé-Beaulaton, 2010).

    Il est important de savoir que la mobilité induite et la mise en contact de groupes pluriels sont peintes comme un « choc des civilisations » (S. Huntington, 1997) ou comme une « civilisation de choc » (A. Appadurai, 2001). Aussi s’agit-il de rencontres, des échanges internationaux ou des découvertes. De la « déterritorialisation des cultures » de groupes et de cette rencontre avec une partie d’elles-mêmes que constituent les « autres », surgit une tension qui interroge les statuts identitaires et profile les rapports intersubjectifs. Cette tension est exacerbée par la multiplicité des espaces de socialisation et des institutions éducatives (O. Reboul, 2010, pp. 28-51) : famille, école, espaces non formels. De ces pôles pourraient émaner des sociabilités diverses : des cultures familiales faisant souvent référence à une culture ethnique ; l’École en tant qu’institution publique encore teintée du « rejeté-réprouvé » (M-C Smouts, 2007, p. 11) postcolonial et la confusion de l’ici et de l’ailleurs non sans effets sur les représentations.

    Cette question de la globalisation est aussi souvent appréhendée comme un processus euro-centré où la « périphérie » africaine notamment, est surtout caractérisée par la passivité, car elle subit des situations face auxquelles elle est impuissante. Ainsi, entre ressassement et vécu, essentialisme et ouverture, exportations et importations culturelles sur fond de post-colonialisme, une question fondamentale mérite d’être posée, celle de savoir l’impact de la globalisation sur la culture Adja-Tado, c’est -à dire l’une de ces différentes fonctions rattachées à la globalisation culturelle. Nous cherchons ici, à nous placer dans une perspective qui fait sortir de l’ombre, le point de vue de sujets soumis à des contraintes extérieures.

    1. Matériels et méthode

    Ce travail de recherche est de nature mixte (quantitative et qualitative). Quatre techniques sont utilisées pour recueillir les informations : la recherche documentaire, l’entretien, l’observation et le questionnaire. Les outils de collecte de données associés sont : la fiche de lecture, la grille d’observation, le guide d’entretien et le questionnaire. La recherche s’est déroulée dans les communes de Porto-Novo, de Cotonou, d’Abomey, de Lokossa, Aplahoué et d’Allada et d’Adjarra. Les techniques d’échantillonnage non probabilistes de choix raisonné ont permis de choisir les enquêtés et le cadre de la recherche. Le choix raisonné est utilisé pour identifier les personnes enquêtées, vu qu’elles ont été sujettes de brassage culturel. La taille minimale de l’échantillon est déterminée à l’aide de la formule de Sloven élaborée par Yamane (1967) selon Tejada et Punzalan (2012). La formule est la suivante :

    Avec : n = taille de l’échantillon ; N = Population totale et

    e = Tolérance d’erreur fixé à 0,05.

    Ce calcul conduit à un échantillon minimal de 400 enquêtés.

    Le tableau ci-dessous présente la répartition de l’échantillon suivant les différentes communes.

     

    Tableau 1 : Répartition de l’échantillon suivant les communes

    Communes Taille de la population* Proportion Taille de l’échantillon
    Cotonou 679 012 47,2 189
    Porto – Novo 264 320 18,4 73
    Abomey 92 266 6,4 26
    Allada 127 512 8,9 35
    Lokossa 104 961 7,3 29
    Aplahoué 171 109 11,9 48
    Total 1 439 180 100 400

    Source: Valeurs obtenues pour le RGPH 4 (INSAE, 2013)

    Les données quantitatives ont été dépouillées manuellement et traitées à l’informatique grâce au logiciel SPSS. Les données qualitatives transcrites ont fait l’objet d’une analyse après triangulation puis catégorisation. Certains propos des acteurs ont servi de verbatims pour appuyer les analyses. Deux modèles d’analyse ont permis d’analyser les résultats : l’interactionnisme symbolique d’Erving Goffman (1973) et la théorie de la contracculturation de Raymond Assogba (2018).

    2. Résultats

    2.1. Les valeurs culturelles prônées par l’aire culturelle Adja-Tado

    Au nombre des personnes enquêtées, cinq (05) groupes socioculturels de l’aire culturelle Adja-Tado et les yoruba et apparentés ont été identifiés. En effet, outre les Yorubas et apparentés, nous avons les Fonnu (42,9%), les Adjanu (21,4%), les Gounnu (14,3%) et les Ayizonu (7,1%).

    Figure 1 : Répartition des enquêtés suivant les groupes socioculturels d’appartenance

    À l’avis des enquêtés, leurs communautés d’appartenance ont des valeurs propres qui les caractérisent et les distinguent des autres. Ils estiment que les valeurs prônées par la culture insistent sur des éléments tels que le respect, l’honneur, le partage, le goût du travail, la paix, l’hospitalité, la justice, etc. La figure 2 présente la fréquence d’occurrence de ces éléments suivants les réponses apportées par les enquêtés.

    Figure 2 : Éléments composites des valeurs portées par les communautés

    De même, les enquêtés reconnaissent que les éléments composites des valeurs culturelles identifiées sont partagés par les groupes socioculturels Fon, Goun, Ayizo, Yorouba et Nago avec des nuances. Afin de renchérir leurs idées, certains enquêtés ont développé des conceptions de la nature des valeurs prônées par la culture africaine.

    Nous insistons beaucoup sur le respect, la solidarité, l’humilité, la soumission de la femme à son mari, l’homme n’est pas autorisé à lever la main sur sa femme car l’un comme l’autre unissent deux familles. Il est aussi recommandé d’avoir une tenue vestimentaire approuvée par les personnes adultes. Les modèles de chez nous en disent long. (Mme A. X., journaliste, 45 ans)

    L’éducation des enfants revêt une importance capitale car l’enfant est un miroir qui reflète les habitudes familiales. La salutation d’une grande personne est souvent encadrée par des signes de respect comme la génuflexion. Lorsqu’un invité vient à la maison, de manière spontanée, il faut lui donner de l’eau à boire et l’enfant est imprégné de tout cela. (Mr B. Y., éducateur, 50 ans)

    Des interdits existent chez nous et il est important de les connaître, de les assimiler et d’agir par rapport à eux. Nous pouvons prendre le cas de l’adultère. Aussi, les connaissances locales dans les villages enseignent par exemple de ne pas siffler la nuit au risque d’attirer les reptiles. (Mr C. Z., prêtre de la religion traditionnelle Sakpata, 49 ans)

    2.2. Globalisation et culture : entre ouverture et fermeture ?

    Figure 2 : Rapport des membres de la communauté par rapport à la globalisation

    Étant amené à se prononcer sur leur position par rapport à la globalisation, les enquêtés ont estimé dans 75% des cas que leur communauté d’appartenance est ouverte sur le monde et donc sur d’autres réalités culturelles. Dans 91,7% des cas, les avis font état de ce que les enquêtés sont ouverts à épouser les valeurs d’autres cultures. Par ailleurs, les enquêtés estiment dans 90,60% des cas que l’évolution des pratiques et les interactions à l’échelle mondiale ont altéré les valeurs culturelles des communautés locales. Sur le plan éducationnel et au cœur de la problématique de la promotion des langues nationales, il faut reconnaître que selon les informateurs que dans un premier temps, la globalisation incite à l’apprentissage et l’utilisation de langues étrangères au détriment des langues maternelles. En effet, la concurrence à l’effet mondial conduit à la nécessité de détenir des compétences linguistiques approuvées, plus généralement la maîtrise de l’anglais, du français, etc. Cet aspect du problème est particulièrement renforcé par l’éducation formelle qui se fait en langue étrangère.

    Imposer la langue étrangère comme langue de système éducatif est une nouvelle forme de colonialisme. Tant que notre système éducatif sera basé sur une langue étrangère, le développement de nos pays africains et surtout le Bénin sera toujours en arrière. Je ne demande pas de bannir hic et nunc les langues étrangères mais commençons par donner de la valeur à nos langues maternelles et locales. (Mr W.-W., inspecteur pédagogique, 40 ans)

    Dans cette même perspective, une pensée partagée stipule par ailleurs que : « être enseigné et éduqué dans sa langue maternelle favorise une meilleure compréhension et permet de développer de meilleures attitudes vis-à-vis des éléments d’apprentissage ». Il ressort donc que l’approche même d’un système éducatif construit sur une langue étrangère compromet la performance des apprenants et des futures cadres dans leurs professions respectives.

    D’autres enquêtés, on fait ressortir le lien trialectique entre globalisation–identité culturelle–intégration. Dans cette veine de pensée, il urge de savoir que la globalisation accentue la perte progressive des repères identitaires en matière de mode et de la cuisine non seulement au sein de la jeunesse mais également au niveau de l’élite dirigeante. Notons qu’avec les interactions avec les cultures étrangères, engendrées par les technologies de l’information et de la communication, il s’observe une attitude de mimétisme. La jeunesse manifeste le profond désir d’être à la mode et consomme les propositions culturelles d’ailleurs au détriment de la production locale. Les clichés drainés par les stars en termes de mode vestimentaire deviennent une référence.

    La globalisation n’est pas une mauvaise chose. Elle a des avantages. Avec l’internet, on a les informations à la minute près. On est en contact permanent avec les parents qui sont à l’extérieur. Avec les évolutions de la téléphonie mobile et les réseaux sociaux, on peut communiquer en rendant présent celui qui est à des milliers de kilomètres de vous. Mais cela n’est pas sans incidence. Nos enfants copient les modes d’habillement qui exhibent les parties érogènes de leur corps. Or, chez nous au Bénin, le corps de la femme est un temple qui nécessite vénération. Avec la globalisation, le langage articulé perd son sens en vue d’une communication purement virtuelle. On a à faire à une génération tête baissée. Les déviances éthiques sont au programme. J’étais surpris d’apprendre à la confession qu’on peut faire l’amour par téléphone. (D-D, prêtre catholique, 35 ans)

    La question de la communication requiert une attention particulière. L’accès aux chaînes de télévision à vocation internationale dans la majorité des foyers ne manque pas de fixer l’attention sur un cinéma qui propose des manières de faire en constante déphasage avec les propositions culturelles endogènes. Les modes de gestion de la vie sentimentale sont en constante redéfinition.

    Les faits d’insécurité relayés renforcent davantage les attitudes de méfiance conduisant à une forme d’isolationnisme et d’individualisme, au détriment des valeurs d’hospitalité, de partage, de fraternité, d’assistance, etc. qu’on reconnaît aux cultures Adja-Tado.

    L’enfant depuis le bas âge est formaté et formé dans une dynamique d’intégration de cultures étrangère au détriment d’un abandon des normes et valeurs endogènes à sa culture. Quelques fois même, on fait croire à l’enfant que sa culture est diabolique. L’évocation du diable fait appel à la religion.

    Le développement des TIC et en particulier les opportunités offertes par les réseaux sociaux sont aujourd’hui un terreau propice à l’émergence des idées d’ordre religieuse. Il s’observe et ceci surtout à la suite de la crise sanitaire Covid 19, une intensification des actions religieuses sur les médias sociaux. De plus en plus, ces réseaux sont pris d’assaut par les religions étrangères pour renforcer leur présence dans la vie quotidienne des membres. Il n’est plus nécessaire de se rendre dans un lieu d’adoration précis pour demeurer en communion avec les autres membres et interagir avec ces derniers.

    Les propositions religieuses endogènes quant à elles, demeurent à la traîne par manque d’initiative technologique, par la présence des difficultés de mobilisation de la compétence à cette cause, et peut être par pur traditionalisme. Celles-ci, quand elles sont mises en exergue. Il s’agit le plus souvent d’initiative individuelle, parfois pour des faits divers, et davantage pour des affaires qui entachent le contenu des valeurs qu’elles transmettent.

    On en cite pour preuve, les faits d’arnaque (cybercriminalité) avec la question des portefeuilles magiques, la question de vodou buveur de sang humain communément appelé kininsi ; et tout récemment l’histoire de bague magique à l’un des doigts de la main droite qui fait disparaître le sexe masculin à la salutation, etc. Ces publicités largement amplifiées par les TIC ne sont pas de nature à rassembler le grand monde autour des idéaux des religions dites endogènes.

    (X-I, professeur de boologie, 62 ans)

    3. Discussion

    La globalisation se caractérise par un développement et une accélération des échanges et des interactions humaines à l’échelle planétaire et s’accompagne d’une disparition des frontières nationales. Elle est due à la libéralisation des échanges, aux progrès des technologies de l’information et de la communication et à la modernisation des moyens de transport. Dans cette perspective, la globalisation est vue comme un levier de développement à maints égards et intégrative de tous les continents. Force est de remarquer selon M. Diouf (2002, p. 220) que la globalisation telle pensée et vécue est discriminatoire. Il soutient que l’Afrique est absente de la grande marche de la globalisation. Il faut que tous les continents soient des segments de cette globalisation. Dans la même continuité, R. Gillet et Y. Wagner (2002, p. 122) mettent l’accent sur l’absence de certaines contrés dans la danse de la globalisation et surtout le côté relatif du développement qu’elle porte. À cet effet, ils demandent qu’une distinction soit faite entre les globalisations effectives et celles parfois fictives. On est alors à la croisée de deux mondes : monde intégratif et monde exclusif. P.-N. Giraud (2006, p. 933) quant à lui souligne la naissance de nouvelles égalités économiques due à une mauvaise compréhension et application des lois de la globalisation. Ce qui fait que les continents comme l’Afrique n’ont rien à apporter aux marchés financiers et sont toujours à la traine sur le plan structurel, industriel et économique.

    En dehors de ces aspects, J.-M. Bouissou (2008, p. 15) aborde de front la question culturelle à l’ère de la globalisation. Dans ces questionnements sur l’impact de la globalisation sur le développement, il évoque ce qu’il appelle « la face sombre de l’interaction entre les cultures ». L’interaction entre les cultures provoque soit un enrichissement mutuel ou une perte d’identité. Cette perte d’identité peut être perçue sur plusieurs angles. L’angle que priorise A. Boubeker (2008, p. 184-185) dans un contexte africain, est celui de la ville et de l’ethnicité. La rencontre des cultures transforme au plus profond non seulement la notion de la ville mais également ses différents composants. Dès lors, on ne saurait traiter de la diversité culturelle sans se référer à la dimension du commun ou de l’interculturalité comme défi politique d’un nouvel être ensemble. Ce qui ne signifie pas pour autant qu’une approche au carrefour de la ville et de l’ethnicité épuise la question conflictuelle de la rencontre des cultures. Dans cette même perspective, J.-L. Klein (1997) parle de l’atomisation et la déstructuration des collectivités locales.

    C’est pourquoi, certains chercheurs postulent que l’appropriation d’un contenu étranger à la rencontre des cultures n’est possible qu’au prix d’un rabais de sa complexité culturelle, ce qui diminue son intérêt. C’est ce que V. Cicchelli et S. Octobre (2016, p. 242) appellent un cosmopolitisme esthético-culturel.

    Conclusion

    La globalisation est vue comme un levier de développement pour les pays émergeants. Plusieurs actions communes sur l’échiquier mondial semblent confirmer les bienfaits de la globalisation. Force est de remarquer que ce développement qui s’opère laisse encore à la traine certains pays qui ont du mal à entrer dans la grande danse transfrontalière. Cette recherche, en partant de l’aire culturelle Adja-Tado a permis de comprendre qu’au-delà du retard de certains pays, la globalisation a eu un impact moins positif sur les éléments de sa culture et a favorisé un émiettement des valeurs culturelles. Ceci n’est pas sans conséquence sur l’éthos social.

    Références bibliographiques

    APPADURAI Arjun, 2001, Après le colonialisme. Les conséquences culturelles de la globalisation, Paris, Payot, 322 p.

    ASSOGBA C. Raymond, 2015, Rituels de l’igname, altérité et contracculturation en Afrique noire, Paris, Presses Académiques Francophones, 364 p.

    BOUBEKER Ahmed, 2008, Diversité culturelle et globalisation au miroir de la ville et de l’ethnicité, in https://journals.openedition.org/ numéro 14, pp. 183-196, consulté le 15 Mai 2023 à 23h45mn.

    BOUISSOU Jean-Marie, 2008, « Quelques questions sur la globalisation culturelle », in Critique internationale /1, (n 38), pp. 9-18.

    CICCHELLI Vicenzo, OCTOBRE, 2016, L’Amateur cosmopolite. Goûts et imaginaires culturels juvéniles à l’ère de la globalisation, Paris, La Documentation française, coll. Questions de culture, 424 p.

    DIOUF Maktahr, 2002, L’Afrique dans la mondialisation, Paris, Éditions L’Harmattan, 244 p.

    GILLET Roland et WAGNER Yves, 2002, Les phénomènes de la globalisation, in Reflets et perspectives de la vie économique, numéro 1, tome XLI, pp. 115-130.

    GIRAUD Pierre-Noël, 2006, Comment la globalisation façonne le monde ? in Politique étrangère , numéro 4, pp. 927- 940.

    GOFFMAN Erving, 1973, La mise en scène de la vie quotidienne. La présentation de soi, Paris, Editions de minuit, 256 p.

    HUNTINGTON Samuel, 1997, Le Choc des civilisations, Paris, Odile Jacob, 368 p.

    INSAE, 2013, Effectifs de la population des villages et quartiers de ville du Benin, Primature, RB, 83 p.

    JUHE-BEAULATON Dominique, 2010, « Organisation et contrôle de l’espace dans l’aire culturelle aja-fon (Sud-Togo et Bénin–XVIIe-XIXe siècle) », in https://journals.openedition.org/afriques/numéro 2, consulté le 30 Mai 2023.

    KLEIN Juan-Luis, 1997, « L’espace local à l’heure de la globalisation : la part de la mobilisation sociale », in Cahiers géographiques du Québec, vol 41, numéro 114, pp. 367-377

    REBOUL Olivier, 2010, La philosophie de l’éducation, Paris, Presses Universitaires de France, 128 p.

    SMOUTS Marie-Claude, 2007, La situation postcoloniale. Les postcolonial studies dans le débat français, Paris, Presses de Sciences Po, 456 p.

    TEJADA J. Jeffrey and PUNZALAN B. Joyce Raymond, 2012, On the misuse of Slovin’s formula, The Philippine Statistician, 61(1), pp. 129-136.

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